Portraits… à l’improviste

Dans mes prises de vues, peu de portraits. C’est sans doute depuis mes études et mon écoles photo il y a maintenant plus de 30 ans (oh la vache, le temps passe hy-per vite !).

Je n’ai jamais vraiment accroché avec toute la mise en place nécessaire à une séance portrait en studio, préparée, organisée, fabriquée… En fait je préfère la « prise sur le vif ».

Même si j’admire le travail des portraitistes et de certains studios, ma préférence va tout de suite au spontané et à l’imprévu.

Mais il faut, du coup, que j’aie l’occasion de capter un moment, un sujet, un endroit avant de déclencher. Que je sente que c’est cet instant-là et pas un autre. Que je connaisse le « modèle » ou que la personne sache que je prends la photo au moment où je la prends.

Car ce n’est pas pareil que prendre une foule, par exemple.

C’est plus intime, plus relationnel

Alors dans cette galerie, il n’y a que quelques clichés. Je garde les autres pour moi : ils attendent d’être présentés ou resteront pour la plupart dans mes archives.

D’ailleurs, en parlant d’archives, vous verrez dans ce portfolio deux photos prises en 1987. J’ai retrouvé des négatifs noir et blanc que j’ai remis en positif. Un de nos profs nous avait donné comme sujet « Personnalité connue ». J’avais pris mon courage à deux mains pour contacter la production du film « Bonjour l’angoisse » de Pierre Tchernia et obtenu l’immense privilège d’assister à une journée de tournage à Paris.

Un de mes meilleurs souvenirs !

Allez, trêve de parlotte. Passons à la galerie.

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